Oh, hey ! Ça va ? Bienvenue à la Partie V de la série Les histoires derrière La Playlist ! Si c'est ta première fois ici et que tu as besoin d'un peu de contexte, dirige-toi d'abord vers l'introduction de cette série. Tu peux aussi lire ou écouter la Partie I, la Partie II, la Partie III, et la Partie IV. Bonne lecture ! 🤗
Avertissement
Dans certaines histoires, je ferai référence au Livre pour donner du contexte. Chaque fois que ça se produira, ce ne sera pas que j’essaie de t'inciter à l'acheter ; la décision d'achat reste entre tes mains. 😊
Le contenu de ces histoires peut également être perturbant ; il s’adresse donc à un public averti.
Sommaire
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Chanson n°21 : King of Kings par Hillsong Worship, Brooke Ligertwood
Année de sortie : 2019
Année de la première écoute : 2021
Années de l'histoire : 2017 à 2022
L'histoire
J'adore cette chanson ! Et oh, cette chanson... C'est une autre qui me rappelle de nombreuses périodes de ma vie mais du côté positif, cette fois. Elle me rappelle les mini-miracles parsemés le long de parcours douloureux.
Lorsque j'ai découvert cette chanson en février 2021, mon rêve ne s'était pas encore réalisé et à l'époque, j'étais encore très attachée à l'idée que mon bonheur ne serait pas complet tant que ce rêve ne se réalisait pas. J'ai écouté cette chanson en boucle, en me disant que ce serait le chant de louange que je chanterais une fois mon rêve réalisé à la fin de cette année-là, comme je le souhaitais au départ. J'attendais ce jour avec impatience. Ce jour n'est pas arrivé. Mais après avoir pleuré des rivières de larmes et réfléchi par la suite, j'ai appris ma plus grande leçon à ce jour. Cette expérience douloureuse m'a fait comprendre qu'il y avait bien plus à la vie que les rêves et les objectifs, et pour la première fois depuis mes 15 ans, j'ai décidé de me détacher de mon rêve. Je n'abandonnais pas, mais je ne voulais plus en faire une obsession et le laisser m'empêcher de m'épanouir ailleurs. J'ai rendu mon rêve à Dieu. S'Il voulait que je l’aie, Il allait trouver un moyen. J'étais fatiguée d’avoir le cœur brisé à tout bout de champ, essayant désespérément de le réaliser.
Je n'avais pas autant d'objectifs pour 2022 que pour les années précédentes ; je voulais surtout profiter de la vie, que mon rêve se réalise ou non. Lorsque j'ai reçu une offre en janvier 2022 pour rejoindre Accenture en tant qu'Analyste Conseil, même si ce n'était pas exactement mon rêve, j'étais heureuse et fière de moi. Heureuse et fière d'avoir obtenu cette offre, mais surtout, heureuse et fière d'avoir lâché prise sur mon rêve, d'avoir persévéré à travers les nombreux challenges au fil des ans, d'avoir tenu bon même quand je n'en avais pas la force.
17 février 2022. Ce soir, je parcours mes journaux intimes sans aucune raison. Enfin... peut-être pas sans raison : il m'arrive d'oublier ce que j'écris, alors j'aime bien revenir en arrière et voir où j'en étais quelques mois auparavant, l'état d'esprit dans lequel je me trouvais. Je m'arrête pour lire ce que j'ai écrit le 31 décembre 2021, lors de mon bilan annuel.
Les larmes me montent aux yeux, confirmant que j'ai effectivement oublié ce que j'avais écrit ce jour-là. J'écoute la chanson n°11 tous les jours depuis que j'ai reçu mon offre d'Accenture le mois dernier, mais ce soir, je mets mes écouteurs, j'ouvre Spotify et je lance la chanson n°21. Je tape sur l'icône de répétition et je sors marcher dans le froid. Je marche et j'écoute cette chanson, les larmes refusant de briser leur flot. Le ciel est tout noir, sans lune ni étoiles ; il n’y a que des flocons de neige tombent, tourbillonnant avant de s'écraser sur mon visage et sur le sol.
Un liquide glacé coule sur mon visage sous mon masque, et je ne saurais dire s'il vient de mes yeux ou du ciel. Je passe ma langue sur mes lèvres pour goûter, et la salinité révèle que le liquide est composé de 94, 62 % de larmes et 5,38 % de neige fondue. Je n'aime pas pleurer en public, mais ma tenue est assortie au ciel et il n'y a qu'une poignée de personnes dehors qui ne peuvent probablement pas voir à travers le brouillard épais.
Je marche, j'écoute, je pleure, je me souviens. Peu importe que mon rêve exact ne se soit pas réalisé. Peu importe que je ne sois pas encore là où je voudrais être. Peu importe que je sois une fois de plus confinée, face à d'autres problèmes. En février 2022, exactement un an après avoir découvert cette chanson, je loue Dieu.
Paroles clés
Praise the Father
Louez le Père
Praise the Son
Louez le Fils
Praise the Spirit three in one
Louez l'Esprit, trois en un
God of glory
Dieu de gloire
Majesty
Majesté
Praise forever to the King of Kings
Louange à jamais au Roi des rois
For the love of Jesus Christ
Pour l'amour de Jésus Christ
Who has resurrected me
Qui m'a ressuscité(e)
Mots-clés : joie, louange, Dieu, rêves.
Chanson n° 22 : Scars to Your Beautiful par Alessia Cara
Année de sortie : 2015
Année de la première écoute : 2015
Années de l'histoire : de 2004 à 2013, de 2017 à 2021
L'histoire
Cette chanson me rappelle mes difficultés avec mon image corporelle, qui peuvent être classées en deux catégories : le poids et la peau.
Le poids : j'associe la majeure partie de mon enfance à des problèmes d'intégration en raison de mon apparence. J'étais dodue, peut-être en surpoids (je n'ai jamais eu l'avis d'un professionnel à ce sujet, donc je n'en suis pas sûre), et les gens ne manquaient pas de le souligner. De leurs commentaires à la façon dont ils me regardaient en passant par les moqueries et les conseils non sollicités, j'ai eu beaucoup de rappels que je ne ressemblais pas tout à fait à la plupart des gens de mon âge ou que je ne correspondais pas aux normes de beauté. J'avais du mal à m'accepter, à être moi-même et à ne pas vouloir être quelqu'un d'autre que moi. Je n'aimais pas ce que je voyais dans le miroir ; pis encore, je le détestais et j'aurais donné n'importe quoi pour ressembler à tout le monde, aux « gens normaux », comme je disais. J'étais extrêmement complexée. Je ne comprenais pas vraiment le concept de confiance en soi, mais quoi que ça ait été, je ne l'avais pas. J'ai essayé plusieurs régimes, je me suis affamée, j'ai essayé de tomber malade, mais rien n'a marché. Quand les gens ne me laissaient pas de côté à l'école, je le faisais moi-même parce que je ne me sentais pas à ma place.
Il y a en fait une autre chanson qui décrit parfaitement mes sentiments à l'époque. Elle s'appelle Le Regard des Gens par Tunisiano. Tu peux regarder la vidéo sur YouTube ou écouter sur Spotify. Je voulais ajouter cette chanson à La Playlist mais je ne l'ai pas fait parce que je ne m'identifie qu'au premier couplet. Je me souviens avoir écouté cette chanson lorsqu'elle est sortie en 2008 et avoir eu l'impression que ce type avait lu mon journal intime. Tout ce qu'il disait dans le premier couplet correspondait à ce que je ressentais. J'aimais beaucoup cette chanson, mais je ne pouvais pas l'admettre de peur que les gens ne devinent pourquoi.
En grandissant, j'ai développé une meilleure relation avec mon corps et j'ai progressivement augmenté ma confiance en moi. Je ne vais pas mentir, le fait que je me sois affinée a aidé. Comment ? Je ne sais pas parce que je n'ai rien fait de spécial. Je suppose que j'ai simplement grandi. À l'université, je me sentais beaucoup plus à l’aise dans mon corps et j'aimais mes courbes. Mais les commentaires occasionnels sur mes joues ou lorsque je prenais du poids me ramenaient parfois à mes habitudes d'enfant.
La peau : l'acné est une chose avec laquelle je n'ai eu de difficultés en grandissant. J'étais très reconnaissante d'avoir traversé la puberté sans aucune imperfection, juste un ou deux boutons çà et là. Je me disais que c'était ma petite récompense pour avoir surmonté les difficultés passées. Mais l'âge adulte est arrivé avec ses propres difficultés. Mon acné d'adulte a commencé au cours l'été 2017 et était principalement due au stress. Je traversais beaucoup de choses et ça se voyait sur mon visage. J'ai commencé à ressentir mon anxiété d'enfant de ne pas vouloir voir ce à quoi je ressemblais sur les photos, alors j'ai arrêté de prendre des selfies et je ne décrochais plus les appels vidéo. J'ai lutté contre l'acné et ses jolies cicatrices pendant les années qui ont suivi, mais avec le temps, j'ai essayé du mieux que j'ai pu de faire abstraction de tout ça, et d'apprécier les progrès que faisait ma peau.
Ceci jusqu'à ce que je retourne chez moi, au Cameroun, durant l'été 2020. Je n'avais jamais entendu autant de commentaires méchants sur ma peau. Certes, je n'avais jamais eu de problèmes de peau, mais quand même... Des gens m'ont dit de ne pas retourner aux États-Unis parce que ça m'avait rendue laide. Certains me disaient qu'ils étaient habitués à la « jolie » moi. Ils disaient que j'avais l'air plus vieille (pas dans le bon sens). Ils m'ont demandé pourquoi je n'étais plus aussi jolie qu'avant. Et dans une culture où, pour beaucoup de personnes, plus on est clair, plus on est beau, je savais ce qu'elles voulaient dire quand elles faisaient des commentaires sur le fait que j'étais devenue beaucoup plus foncée, ou quand elles demandaient pourquoi je n'étais pas devenue plus claire comme la plupart des gens qui allaient vivre à l'étranger. Tu liras l'épisode au spa. Tout ça m'a beaucoup affectée. Oui, j'ai pleuré, et oui, ça m'a ramenée à mon enfance. Je ne me sentais pas belle. J'ai commencé à éviter les gens, je ne voulais plus sortir pour voir personne.
J'ai fini par m'habituer aux commentaires et ils ont progressivement perdu leur pouvoir sur moi (je suppose que c'est ce que signifie avoir la « peau dure » ?). J'ai également trouvé un meilleur spa et ma peau a commencé à s'améliorer. Quand elle s'est améliorée, les nouveaux commentaires que je recevais portaient sur le poids que j'avais pris, venant des mêmes personnes qui se demandaient auparavant comment je n'étais pas devenue obèse étant donné que je vivais dans le « pays des hamburgers ». Mais à ce moment de ma vie, je ne me souciais plus de ce que les gens pensaient de mon poids, et je n'allais certainement pas arrêter de manger de bananes frites chaque fois que j'en avais l'occasion parce qu'il fallait que je « maintienne » mon poids. Mais pourquoi ? Ça n'a aucun sens !
La raison pour laquelle j'ai mis 2021 comme année de fin de l’histoire n'est pas parce que je suis maintenant complètement immunisée contre les commentaires désagréables ou que je n'ai plus de complexes. Ce n'est pas vrai. Ce qui est vrai, c'est que s'aimer soi-même est un travail continu et que tant que je vivrai, j'y travaillerai. 2021 est tout simplement l'année où j'ai décidé de ne plus laisser les opinions et les normes de beauté des gens avoir la moindre influence sur la façon dont je me vois. Parfois, je mange sain, et d'autres fois, je me prends deux sandwiches Chick-Fil-A Deluxe épicés avec supplément de frites, de la limonade et de la sauce en plus. Je n'ai pas l'habitude de manger épicé, mais les sandwiches au poulet épicé de chez Chick-Fil-A sont tout simplement différents. Lorsque je mange ces deux sandwiches, ma routine reste la même et je ne vais pas à la gym un jour de plus ou 30 minutes de plus pour brûler des calories « supplémentaires ». Je ne m'engagerai plus dans des restrictions alimentaires à moins qu'elles ne soient absolument nécessaires et recommandées par quelqu'un qui sait vraiment de quoi il parle.
En bref : je m'aime. J'aime aussi mon corps, et je sais que les gens auront toujours quelque chose à dire à ce sujet. Cette chanson me le rappelle.
Oh, et même si je ne les aime pas, je suis reconnaissante pour mes cicatrices (😉).
Paroles clés
Oh, she don't see, the light that's shining
Oh, elle ne voit pas, la lumière qui brille
Deeper than the eyes can find it
Plus profonde que les yeux ne peuvent la trouver
Maybe we have made her blind
Peut-être que nous l'avons rendue aveugle
So she tries to cover up her pain
Alors elle essaie de cacher sa douleur
But there's a hope that's waiting for you in the dark
Mais il y a un espoir qui t'attend dans le noir
You should know you're beautiful just the way you are
Sache que tu es belle telle que tu es
And you don't have to change a thing
Et tu n'as pas besoin de changer quoi que ce soit
The world could change its heart
Le monde, lui, pourrait changer son cœur
We're stars and we're beautiful
Nous sommes des étoiles et nous sommes belles
Beauty is pain and there's beauty in everything
La beauté est douleur et il y a de la beauté dans tout
What's a little bit of hunger?
C’est quoi, un peu plus de famine ?
I could go a little while longer
Je pourrais continuer un peu plus longtemps
Beauty goes deeper than the surface
La beauté est plus profonde que sa surface
So to all the girls that's hurting
Alors à toutes les filles qui sont blessées
Let me be your mirror
Laissez-moi être votre miroir
Help you see a little bit clearer
Que je vous aide à voir un peu plus clair
The light that shines within
La lumière qui brille à l'intérieur
No better you than the you that you are
Il n'y a pas de meilleur toi que la toi que tu es
No better life than the life we're living
Il n'y a pas de meilleure vie que celle que nous vivons
Mot-clé : amour propre.
Chanson n° 23 : Pour Toi par The Shin Sekaï
Année de sortie : 2016
Année de la première écoute : 2018 (Je ne sais pas comment ça se fait que je n'ai pas connu cette chanson plus tôt.)
Année de l'histoire : 2018
L'histoire
Cette chanson est une autre que j'ai utilisée pour la vidéo d'anniversaire de ma maman en 2018. Tu peux lire ou écouter l'histoire n°14 si tu ne sais pas de quoi je parle ou si tu as besoin d'un petit rappel. C'est une si belle chanson, je ne sais vraiment pas comment j'ai fait pour ne pas savoir qu'elle existait avant 2018.
Lorsque j'ai demandé à ma petite sœur de trouver la chanson préférée de tous les temps de notre maman pour le montage vidéo, elle a suggéré que nous utilisions également celle-ci et c'est ainsi que j'en ai appris l'existence. Et tout comme la chanson n°14, je n'ai pas pu m'empêcher d'écouter celle-ci non plus après l'anniversaire de ma maman. Elle me faisait penser à elle, à tout ce qu'elle avait fait pour moi et à tout ce que je ferais pour elle si j'en avais l'occasion. C'est une chanson qui me rend reconnaissante de l'avoir comme maman.
Paroles clés
Mama, pour toi je ferais tout
Je ne sais comment te remercier
Pour toi j'aimerais tout arrêter
Pardonne-moi pour toutes ces fois où j'ai pas su dire, Mama
Que tu comptais pour moi
Si les poids sur tes épaules deviennent difficiles, Mama
Je les prendrai pour toi
Laisse-moi devenir la solution de tes ennuis
Dis-moi comment te rendre heureuse
Demande-moi, ferme les yeux
Car pour toi, je donnerais tout
Je n'oublierai jamais c'que tu m'as apporté
Et si je survis aujourd'hui, c'est grâce à ta ténacité
Et si un jour la vie décide de nous séparer
Mama, j'espère que tu m'auras pardonné
Mots clés : Ming Mang Moung, amour, reconnaissance.
Voici un extrait de la vidéo que j'ai réalisée pour son anniversaire. Je suis la cinquième de six enfants et j'ai assemblé les clips par ordre de naissance, ce qui fait que pas mal de gens m'avaient déjà précédée. Tu as déjà probablement entendu la façon dont je l'appelle affectueusement : Ming Mang Moung. Je ne sais pas du tout d'où ça m’est venu, je sais juste que j'ai commencé à l'appeler comme ça dès mon plus jeune âge et ça m'est resté. J'ai même créé cette petite mélodie à partir d'une chanson de Bob Marley haha. Je ne me souviens pas de la dernière fois où je l'ai vraiment appelée « maman ».
Ce que j'ai dit en 2018 tient toujours aujourd'hui : je n'aurais vraiment pas pu espérer mieux comme maman. Comme l'a dit ma petite sœur plus tard dans la vidéo, « Même si nous pouvions choisir nos parents, je [l]'aurais quand même choisie comme ma maman ».
La photo juste après mon clip date de la fois où elle est venue me rendre visite à Chicago en décembre 2017. Voici la scène à laquelle cette photo fait référence :
Nous sommes sorties de l'aéroport et je suis retournée dans ses bras. Elle m'a serrée à nouveau. Elle m'avait tellement manqué. J'étais aux États-Unis depuis moins d'un an, mais j'avais l'impression de ne pas l'avoir vue depuis dix ans. Nous avons pris une tonne de photos, puis nous sommes rentrées à la maison.
D'ailleurs, c'est pas étrange que cette chanson ait commencé exactement au moment où mon clip a commencé ? Mais quelle coïncidence !
Chanson n°24 : Mama par X-Maleya, Pit Baccardi
Année de sortie : 2013
Année de la première écoute : 2013
Années de l'histoire : 1996 à l'infini
L'histoire
Il s'agit ici d'un autre hommage à ma maman. Et non, cette chanson ne faisait pas partie de la vidéo d'anniversaire, mais c'est une chanson que j'aime beaucoup. Cette chanson est en français et en bassa'a, un dialecte camerounais parmi plus de 200. Au cas où tu ne le saurais pas, je suis camerounaise, mais je ne comprends pas vraiment ce qu'ils disent dans la chanson. George – que tu rencontreras dans Le Livre – l'a traduite pour moi. Et ça, c'est parce que je suis d'un autre groupe ethnique : Beti, plus précisément Ewondo (à 100 % 😊). Donc, l'ewondo est ce que je parle (un peu) et que je comprends (beaucoup plus).
Je sais que la plupart des gens peuvent dire ça de leur maman, mais la mienne est vraiment la meilleure. Je veux dire, dans le monde entier. Je pourrais raconter un million d'histoires ou donner un million de raisons pour lesquelles elle l'est, mais je ne le ferai pas, parce que ça nécessiterait d'écrire un autre livre (je me contente d'un seul pour l'instant 😩), et ce n'est pas à moi de raconter certaines de ces histoires.
Paroles clés
Toute la chanson, sauf le passage où Pit Baccardi dit « Tu n'es plus là mais je t'aime » parce qu'elle est toujours là, et j'aimerais qu'il en soit toujours ainsi.
[Alors, s’il y a des Bassa'a qui m’ecoutent, prière de ne pas vous moquer de ma prononciation dans l'audio. 😭]
Nyambè soho soho tera mama yem eh
Seigneur, s'il te plaît, s'il te plaît, veille sur ma maman
A mama eh a mama, mè ngwès wè eh
Oh maman, oh maman, comme je t'aime
Mots clés : Ming Mang Moung.
Merci d'avoir lu les histoires d'aujourd'hui ! La section des commentaires est toujours ouverte, s'il y a quelque chose que tu aimerais partager. Je te retrouve bientôt pour la dernière partie de cette série. En attendant, reste en bonne santé physique et mentale. 😊
Câlins,
Danielle
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